A
partir de Pontenx les Forges, la plateforme a été transformée en
piste cyclable jusqu'à Mimizan, en passant par St Paul en Born...
La gare de Saint-Paul en Born.
et aujourd'hui
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Puis toujours en suivant la départementale 826, nous arrivons à Aureilhan commune de Mimizan.
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Très vite, nous arrivons à Mimizan-Bourg
Rue de la gare, Avenue de la gare, mais plus de gare à Mimizan-Bourg !
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La gare dans les années soixante.
La gare de Saint-Paul en Born.
et aujourd'hui
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Puis toujours en suivant la départementale 826, nous arrivons à Aureilhan commune de Mimizan.
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Très vite, nous arrivons à Mimizan-Bourg
Rue de la gare, Avenue de la gare, mais plus de gare à Mimizan-Bourg !
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La gare dans les années soixante.
La ligne traverse deux départementales puis se dirige vers la mer en passant au ras de la papeterie (qui était embranchée) en passant par la gare de Mimizan Bel Air. Le locotracteur Moyse est celui de l'usine.
Vue aérienne de la papeterie montrant le grand nombre de wagons utilisés quand l'usine était embranchée.
La gare de Mimizan Bel Air existe encore dans les emprises de l'usine, ici au milieu de cette vue satellite.
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Le tracé suit une belle courbe vers le Nord et dessert l'arrêt de Mimizan Plage puis traverse le courant et voilà la gare de Mimizan les Bains.
Mimizan
les Bains.
Aujourd'hui, il ne reste rien... La gare détait sur la droite du parking (où stationne le camping-car).
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La ligne continue vers le Nord à travers les dunes vers Biscarosse, mais c'est une autre ligne...
En résumé, il y a eu quatre gares et un arrêt sur la commune de Mimizan : dans l'orde, Aureilhan, Mimizan-Bourg, Mimizan Bel Air, l'arrêt facultatif de Mimizan Plage (avant le pont sur le courant) et enfin Mimizan les Bains. Ce qui peut tromper, c'est qu'officellement celle de la plage s'est appelée Mimizan les Bains puis peu à peu elle a été nommée Mimizan Plage ; ce glissement apparait dans les légendes des cartes postales.
A l'ouverture de la ligne entre Labouheyre et Mimizan-Bourg, il n'y a que deux allers et retours assurés en environ 1h30 ! Après l'ouverture du prolongement vers Mimizan les Bains, la durée du voyage n'est pas améliorée, mais la fréquence augmente surtout en été.
En examinant bien le tableau on voit que le même train peut assurer le service d'une journée en commençant le matin à Mimizan les Bains.
Les horaires en 1923.
Et enfin ceux de 1930.
En 1939, quasiment tous les services voyageurs seront supprimés sur les lignes VFL, sauf sur Labouheyre-Mimizan où le service sera assuré par autorail (à gazogène pour commencer). Le temps de parcours sera notablement réduit de 1h à 1h10. Le service a été définitivement supprimé en 1960. Pour les marchandises, de nombreux embranchements ont été en service, sans compter le plus important celui de la Cellulose d'Aquitaine. Le chargement des wagons en pleine voie était autorisé : on peut penser que si le chantier devait durer plus d'une journée, on devait installer un embranchement provisoire.
Des photos supplémentaires de Mimizan les Bains.
Aujourd'hui, il ne reste rien... La gare détait sur la droite du parking (où stationne le camping-car).
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La ligne continue vers le Nord à travers les dunes vers Biscarosse, mais c'est une autre ligne...
En résumé, il y a eu quatre gares et un arrêt sur la commune de Mimizan : dans l'orde, Aureilhan, Mimizan-Bourg, Mimizan Bel Air, l'arrêt facultatif de Mimizan Plage (avant le pont sur le courant) et enfin Mimizan les Bains. Ce qui peut tromper, c'est qu'officellement celle de la plage s'est appelée Mimizan les Bains puis peu à peu elle a été nommée Mimizan Plage ; ce glissement apparait dans les légendes des cartes postales.
A l'ouverture de la ligne entre Labouheyre et Mimizan-Bourg, il n'y a que deux allers et retours assurés en environ 1h30 ! Après l'ouverture du prolongement vers Mimizan les Bains, la durée du voyage n'est pas améliorée, mais la fréquence augmente surtout en été.
En examinant bien le tableau on voit que le même train peut assurer le service d'une journée en commençant le matin à Mimizan les Bains.
Les horaires en 1923.
Et enfin ceux de 1930.
En 1939, quasiment tous les services voyageurs seront supprimés sur les lignes VFL, sauf sur Labouheyre-Mimizan où le service sera assuré par autorail (à gazogène pour commencer). Le temps de parcours sera notablement réduit de 1h à 1h10. Le service a été définitivement supprimé en 1960. Pour les marchandises, de nombreux embranchements ont été en service, sans compter le plus important celui de la Cellulose d'Aquitaine. Le chargement des wagons en pleine voie était autorisé : on peut penser que si le chantier devait durer plus d'une journée, on devait installer un embranchement provisoire.
Des photos supplémentaires de Mimizan les Bains.